Présentation du métier d’avocat en droit de la famille
Dans le domaine du droit, un avocat en droit de la famille prend en charge tous les dossiers relatifs à l’individu en tant que tel. Mariage, droit de succession, héritages, autorité parentale et psychologie de l’enfant, violences conjugales et autre, son métier touche une personne et sa vie de famille.
Lors de ses missions, il propose des conseils en rapport avec les dossiers, la loi et les droits. Il entame également les différentes étapes en relation comme les démarches administratives et les procédures officielles tout en veillant à la réalisation des actes nécessaires.
Face au tribunal, il prend le rôle de justiciable qui fait tout son possible pour défendre ses intérêts. Tous comme ses confrères, l’expert répond aux mêmes règles de déontologies. Il doit avoir une excellente qualité d’écoute et suivre des formations spécialisées. Il doit être capable d’apporter une solution efficace et convenable pour son client.
Il doit également lui expliquer de manière très simple les différents principes régis par la loi. Le praticien doit avoir fait ses études de droit et suivre une formation de 18 mois au CRFPA.
Il doit aussi faire un stage pour réussir le CAPA et s’inscrire à un barreau. Après qu’il soit reconnu pour exercer son métier, notamment sa spécialisation en DROIT de la famille, il peut postuler comme un salarié, un collaborateur, mais peut également ouvrir son propre cabinet. Pour ce qui est du salaire, il peut le fixer lui-même en fonction de ses honoraires.
Présentation du rôle de l’avocat dans un divorce
C’ est une étape assez compliquée dont il est indispensable et est obligatoire de faire appel à un professionnel du droit, et cela, dès le moment où le demandeur prépare une demande. Ce dernier est alors engagé pour différents rôles principaux. Son premier devoir est d’informer le client sur tous les différents types de ruptures et le montant des honoraires prévisibles.
Cela afin de comprendre parfaitement la volonté de celui-ci et de le guider vers la procédure le plus adaptée. Le professionnel doit également informer son client sur les nombreuses démarches nécessaires, le règlement des conséquences et autre. Cet avocat spécialisé en succession https://omega-avocats.fr devient le représentant de l’un des époux ou encore des deux s’il s’agit d’une rupture à l’amiable.
Il prend aussi en charge la rédaction des différentes pièces de la procédure comme la demande, la convention entre les deux parties, l’assignation et les conclusions qui seront présentées au juge aux affaires familiales. Il prend un rôle très important pendant les audiences et les appels.
Effectivement, il assiste son client et plaide en sa faveur, mais aussi fait appel pour lui pendant les décisions qui pourraient interagir contre ses intérêts. L’expert apporte également des conseils à son client avant que ce dernier ne prenne la parole, et ce, dans le but d’être gagnant. Lorsque le verdict final est prononcé, il devra transmettre le jugement au service d’état civil pour que la mention Divorce soit présente sur les actes de naissance et de mariage des anciens époux.
Comment fonctionne la procédure de divorce par consentement mutuel depuis la réforme de 2016 ?
Le 1er janvier 2017, cette procédure subit une réforme qui fait suite à la loi de modernisation de la justice du XXIe siècle. Désormais, les époux qui désirent un divorce par consentement mutuel ne doivent plus passer devant un juge.
Comme en dit le texte de loi : « les époux peuvent consentir mutuellement à leur séparation par acte sous signature privée contresigné par un professionnel du droit, déposé au rang des minutes d’un notaire ».
Dans le cas où les deux époux sont en bonne entente quant à la séparation de leur union et de ses conséquences, ils peuvent être assistés par un cet expert en question et témoigner leur accord dans une convention. Par la suite, cette dernière doit être enregistrée par un notaire leur permettant de se prévaloir de cette convention sans passer devant un juge. Cependant, si un enfant mineur demande à être entendu par le juge, les époux n’auront pas la possibilité de divorcer de cette manière. Pour information, la convention se compose certains points essentiels :
• Les noms, prénoms, professions, résidence, nationalité, dates et lieux de naissance, date et lieu de mariage des deux époux et aussi les mêmes indications pour leurs enfants
• Le nom, l’adresse professionnelle, la structure d’exercice des avocats qui sont chargés d’assister les époux et le barreau auquel ils se sont inscrits
• La mention d’accord des époux
• Les modalités du règlement des conséquences du divorce par consentement mutuel, surtout s’il y a lieu au versement d’une prestation
• L’état liquidatif du régime matrimonial
• La mention qui stipule que l’enfant mineur a été informé par ses parents de son droit d’être entendu par le juge